truncate -s 20G ./file.dat
truncate -s 20G ./file.dat
Le but est d’activer le WoL sur un Dell Optiplex 3050.
https://www.dell.com/support/kbdoc/en-uk/000129137/wake-on-lan-wol-troubleshooting-best-practices
Il faut bien sûr que le matériel supporte le WoL. C’est le cas de l’Optiplex 3050.
Il est nécessaire de paramétrer le BIOS, mais également le pilote sous l’OS que l’on utilise, car il va déterminer le comportement de la carte réseau à l’extinction de l’OS.
J’ai commencé par faire une mise à jour du BIOS vers la version la plus récente, pour limiter les risques de bug logiciel du BIOS.
Vérifier les paramètres suivants :
À ce stade, normalement le WoL est actif. Il se voit par l’allumage d’une des 2 LEDs de la carte réseau.
On peut “réinitialiser” le statut WoL en débranchant électriquement le poste puis en le rebranchant. Il devrait s’allumer un court instant, puis s’éteindre, mais la LED du NIC doit rester allumée.
Lorsqu’on éteint le poste via la commande sudo poweroff
, la carte réseau s’éteint complètement, car l’OS peut contrôler son comportement à l’extinction.
Il faut donc lui dire de maintenir la carte en fonctionnement.
On commence par installer ethtool, qui permet de voir/gérer l’état des cartes réseau :
apt install ethtool
On définit la carte à gérer :
iface=ethX
et on peut consulter une carte avec :
sudo ethtool $iface
ou
sudo ethtool $iface | grep -i Wake-on
et on a notamment les lignes :
Supports Wake-on: pumbg
Wake-on: d
Chaque lettre a une signification, trouvable dans man ethtool
, et qui sont :
p Wake on PHY activity
u Wake on unicast messages
m Wake on multicast messages
b Wake on broadcast messages
a Wake on ARP
g Wake on MagicPacket™
s Enable SecureOn™ password for MagicPacket™
f Wake on filter(s)
d Disable (wake on nothing). This option clears all previous options.
Le WoL implémenté généralement est le “MagicPacket™”, il faut donc avoir que la carte supporte “g”.
L’état “Wake-on” correspond à l’état actuel ; on voit ici qu’il est désactivé, donc si j’éteins le poste, la carte-réseau n’aura aucune LED allumée et il sera impossible de le rallmuer via WoL.
À ce stade, le WoL restera désactivé même si on va dans le bios, qu’on sauvegarde, qu’on ré-éteint le poste.
Il est nécessaire de débrancher/rebrancher électriquement le poste pour que le WoL recommence à fonctionner.
Pour activer le WoL, il faut entrer cette commande :
sudo ethtool -s $iface wol g
dont la réussite se voit dans la sortie de :
sudo ethtool $iface | grep -i Wake-on
Si on éteint le poste, le WoL restera activé.
Mais au prochain boot, le status WoL sera à nouveau défini sur d
!
Il faut donc l’activer à chaque démarrage.
Des infos ici : https://wiki.debian.org/fr/WakeOnLan
Je passe par la méthode de création d’un service systemd : On peut créer le fichier de définition du service avec cette commande, à lancer en root :
if [ -z "$iface" ] ; then echo -e '\nIl faut définir la variable $iface !\n' ; else echo "[Unit]
Description=Configure Wake-up on LAN
[Service]
Type=oneshot
ExecStart=/sbin/ethtool -s $iface wol g
[Install]
WantedBy=basic.target" > /etc/systemd/system/wol.service ; fi
On active le service au démarrage, ainsi qu’immédiatement, et on recharge le démon systemd :
sudo systemctl enable wol
sudo systemctl start wol
sudo systemctl daemon-reload
On doit normalement avoir “g” sur le paramètre “Wake-on” à chaque démarrage, et donc pouvoir éteindre le poste via poweroff
en maintenant le status WoL actif.
https://www.dell.com/support/kbdoc/en-uk/000129137/wake-on-lan-wol-troubleshooting-best-practices
Il semblerait que ce soit via le gestionnaire de périph, aller dans les propriétés du NIC -> Power Management ->
Allow this device to wake the computer
Only allow a magic packet to wake the computer
advanced tab
Energy-Efficient Ethernet -> Disabled
config panel :
Turn on fast startup ?
On note l’adresse mac de la cible à réveiller :
distantmacaddr=00:11:22:33:44:55
Sous Debian il y a au moins 2 outils pour réveiller un poste via WoL :
sudo apt install etherwake wakeonlan
On peut utiliser etherwake, qui nécessite les droits root et de préciser explicitement l’interface qui envoie le paquet magique :
sudo etherwake -i ethX $distantmacaddr
ou bien wakeonlan :
wakeonlan $distantmacaddr
Sur l’Optiplex 3050, je constate environ 0.9W lorsque le poste est éteint avec WoL activé.
En phase de BIOS/démarrage, je constate environ 20W, et lorsque Debian est lancé mais sans aucune activité, je constate environ 9W.
En lançant quelques processus u peu gourmands en CPU/RAM/disque (mais sans être un test intensif non plus), je monte à 40W.
Il m’est arrivé d’avoir un fichier mp3 sur lequel vlc me sortait des tags qui n’étaient pas du tout ceux mentinnés par id3v2.
Après analyse du fichier, j’ai vu qu’il s’agissait de tags Monkey’s Audio (APE tags).
Pour les gérer sous Linux, j’ai trouvé le logiciel apetag (qui n’est pas dans les dépôts Debian).
git clone https://github.com/robertmuth/apetag
make
qui nous donne l’éxécutable apetag
(que l’on peut éventuellement mettre dans /usr/local/bin
pour l’avoir dans le $PATH).
apetag -m erase -i file.mp3
Pour plusieurs fichiers à la fois, il me semble que la wildcard ne fonctionne pas, donc avec find :
find ./ -iname "*.mp3" -exec apetag -m erase -i {} \;
Sous Debian Bookworm, c’est le paquet rsyslog
qui est utilisé par défaut.
Son fichier de conf est /etc/rsyslog.conf et il inclut /etc/rsyslog.d/*.conf
rsyslog a ses propres filtres qui lui sont uniques, mais je parle ici des filtres par sélecteurs, qui sont les filtres classiques du syslog originel.
Son principe est d’associer un ou plusieurs sélecteurs à une action.
Page de doc sur les filtres
Un sélecteur est composé d’un ou plusieurs “facility” (sous-système qui a produit le message) et d’une priorité (la sévérité du message).
facility : auth, cron, mail, etc
priorité : warn, crit, info etc. (ou * )
On peut accoler plusieurs facility avec une même priorité graçe à la virgule ,
On peut accoler plusieurs sélecteurs à une même action avec le point-virgule ;
Les actions sont ce qu’on fait du message ; principalement écrire dans un fichier, envoyer sur un tty, envoyer vers un autre poste etc.
Page de doc des actions
facility1,facility2.priorité1;facility3.priorité3 action
on peut mettre un “moins” -
à ‘action ; pour les fichiers, cela signifie ne pas flush le cache à chaque écriture.
Dans /etc/rsyslog.conf
, il y’a un catchall qui integrera tout dans syslog, sauf les facility “auth” et “authpriv”.
Si on ne veut pas du tout les logs de cron dans le syslog, et limiter les modifications du fichier principal de conf, il faut commenter cette ligne :
#*.*;auth,authpriv.none -/var/log/syslog
Puis on peut ajouter le fichier /etc/rsyslog.d/00-catchall.conf
dans lequel on met :
# Catch everything except auth, authpriv and cron msgs into syslog
*.*;cron,auth,authpriv.none -/var/log/syslog
et le fichier /etc/rsyslog.d/10-cron.conf
avec :
# Log cron stuff
cron.* /var/log/cron.log
Puis on redémarre rsyslog :
sudo service rsyslog restart
A priori pipewire est utilisé par défaut pour l’audio à partir de bookworm.
https://wiki.debian.org/PipeWire
Si message br-connection-profile-unavailable
lors de la connexion d’un appareil audio bluetooth, il faut peut-être (ré)installer le bluetooth par pipewire :
sudo apt install pipewire-audio
qui devrait notamment installer
libspa-0.2-bluetooth
En cas de suppression puis création de partition en milieu de disque, il peut arriver que les partitions ne soient plus numérotées dans l’ordre de leur positionnement sur le disque.
Bien que non gênante en fonctionnement, cette situation diminue la lisibilité du disque et augmente les risques de confusion lors de manipulations de partitions.
Pour remédier à ceci, on peut renuméroter les partitions dans leur ordre logique.
Pour les partitions MBR, il faut le faire à la main : on dumpe la table de partition, on la modifie, puis on la réécrit sur le disque.
dev=/dev/sdX
sudo sfdisk --dump ${dev} > sdX.bkp
nano sdX.bkp
# changer le chiffre
sudo sfdisk -f {dev} < sdX.bkp
# débrancher/rebrancher disque (ou reboot) pour forcer la relecture de la table de partition
Pour les partitions GPT, voir cet article
Même procédure que pour buster avec quelques variations :
sudo aptitude install live-build live-tools
mkdir bookworm_live && cd bookworm_live
mkdir auto && cp /usr/share/doc/live-build/examples/auto/* ./auto/
Fichier auto/config
#!/bin/sh
set -e
lb config noauto \
--architectures 'amd64' \
--archive-areas 'main contrib non-free non-free-firmware' \
--bootappend-live 'boot=live config locales=fr_FR.UTF-8 keyboard-layouts=fr' \
--binary-images 'iso-hybrid' \
--distribution 'bookworm' \
--linux-flavours 'amd64' \
--source 'false' \
--backports 'true' \
"${@}"
puis
lb config
Fichier config/package-lists/live.list.chroot
live-boot
live-config
live-config-systemd
systemd-sysv
#FIRMWARE
firmware-linux firmware-atheros firmware-b43-installer firmware-bnx2x firmware-brcm80211 firmware-iwlwifi firmware-libertas firmware-myricom firmware-netxen firmware-qlogic firmware-realtek broadcom-sta-dkms
#UTILS
nmap rcconf gparted hfsprogs ntfs-3g hfsplus hfsutils dosfstools lightdm bash-completion chntpw dcfldd bootlogd less mesa-utils numlockx ethtool grub2 ssh gdisk testdisk iftop nethogs pm-utils dmraid aptitude apt-file smartmontools debootstrap pciutils usbutils cifs-utils e2fsprogs mtools screen lvm2 net-tools mdadm lsscsi haveged rng-tools cryptsetup efibootmgr efivar ncdu wireless-tools dnsutils git iperf iperf3 lshw pmount grub-efi-ia32-bin grub-pc-bin grub-efi-amd64-bin curl dislocker apfsprogs apfs-dkms ntp ntpdate vlan
# TEAMVIEWER
libqt5webkit5 qml-module-qtquick2 qml-module-qtquick-controls qml-module-qtquick-dialogs
# DESKTOP
hplip system-config-printer xsane simple-scan mate-desktop-environment caja-open-terminal mesa-utils firefox-esr-l10n-fr chromium-l10n pulseaudio pavucontrol pavumeter mate-media-common mate-media mate-settings-daemon-dev mate-settings-daemon-common mate-settings-daemon chromium engrampa unrar pluma bluez blueman pulseaudio-module-bluetooth gddrescue ddrescueview vlc rdesktop conky network-manager-gnome webcamoid cheese webp-pixbuf-loader
#
Voir notes pour Bullseye
Si on héberge un WordPress derrière un reverse proxy (dans mon cas jwilder-nginx+letsencrypt) qui gère le https et les certificats, WordPress verra le trafic en non-chiffré.
Il faut donc l’informer que le trafic est chiffré de manière externe, et qu’il doit modifier les URLs en https://
.
Si je comprends bien, ceci se fait via la détection d’une en-tête définie par le reverse proxy.
Pour ceci, on ajoute dans le wp-config.php (dans le volume) :
//Load Balancer NGINX Proxy
if (isset($_SERVER['HTTP_X_FORWARDED_PROTO']) && $_SERVER['HTTP_X_FORWARDED_PROTO'] == 'https')
$_SERVER['HTTPS']='on';
Par défaut, la police de l’horloge MATE est une police à espacement variable, ce qui cause un très léger mouvement de l’ensemble des icônes de la zone de notification. Pour la passer en police chasse fixe pour empêcher ceci, créer/éditer le fichier ~/.config/gtk-3.0/gtk.css
et y coller ce bloc :
#clock-applet-button {
font-family: monospace-regular;
}
Puis pkill mate-panel
devrait recharger le panneau avec la modification.
Il faut évidemment backuper tout le nécessaire avant la moindre manipulation.
Source
sudo gdisk /dev/sdX
r
f
Se fait avec l’utilitaire MBR2GPT.EXE.
Ne fonctionne que pour un disque système !
Cet utilitaire va également créer/rendre bootable une partition ESP, et créer les fichiers de démarrage Windows pour protocole EFI.
Il est disponible à partir de Windows 10 1703. Il est prévu pour être utilisé en WinPE/WinRE, mais peut être utilisé directement sur l’OS en cours de fonctionnement avec le flag /AllowFullOS
. un certain nombre de fonctionnalités risquent cependant de ne pas fonctionner. Il est donc préférable de redémarrer en WinRE (Paramètres -> Mises à jour et Sécurité -> Récupération -> Démarrage avancé -> Redémarrer) puis Invite de commande.
(possible depuis USB install ?)
Tout d’abord identifier le numéro du disque à convertir avec diskpart
, list disk
. Dans notre exemple, c’est le disque 9.
mbr2gpt.exe /validate /disk:9
pour vérifier que c’est faisable (voir les pré-requis sur le lien ci-dessus).
mbr2gpt.exe /convert /disk:9
pour effectivement lancer la conversion (+ création de la partition ESP, formatage en FAT32, ajout des fichiers de démarrage pour le protocole EFI etc…)
Il sera nécessaire de paramétrer le boot en EFI car ceci va de paire (sous Windows) avec une table de partition GPT.